Pourquoi j’ai appelé ma boîte “Après quoi tu cours ?”

Après quoi tu cours ?

C’est le nom de ma boîte.

Pourquoi j’ai choisi ce nom ?
Eh bien… pour le comprendre, je dois vous raconter un bout de mon histoire.

En 2001, je fais ma première crise d’angoisse. Trois heures non-stop à croire que j’allais mourir ou, au mieux, devenir fou.

Ce fut le début d’une longue série.
Une période de huit ans.

Huit ans pendant lesquels j’ai tout essayé.
La totale niveau thérapies : sophrologie, EMDR, EFT, psychologie, psychologie positive, Reiki, somatothérapie…

Est-ce que ça m’a aidé ? Oui.
Est-ce que ça m’a libéré ? Non.

Et puis un jour, j’ai compris.
Si je voulais vraiment aller mieux, il fallait que j’arrête de fuir mon inconfort.

Que j’arrête de courir après la nouvelle méthode miracle.
Que je cesse de croire qu’une respiration holotropique ou un atelier perché allait me « sauver » en me propulsant dans un état modifié de conscience.

C’est au moment où j’ai fait demi-tour,
où j’ai commencé à rester avec ce qui me gênait vraiment,
que j’ai commencé à me détendre. À aller mieux.

Et vous savez quoi ?
Ça n’a rien de spectaculaire.

C’est juste quelque chose de profond qui s’apaise.

Plus besoin de faire 40 exercices de relaxation par jour.
Juste… être là.

C’est exactement ce que propose NERTI :
accueillir, sans vouloir changer.
Pas avec le mental.
Juste par l’observation des sensations.

C’est cette compréhension qui a donné le nom de ma boîte :

« Arrête de courir après la paix ou le bonheur et sois juste présent à ton mal-être »

C’est là que commence la vraie libération.