
Vaincre la peur de s’étouffer en mangeant : pourquoi la vraie solution n’est pas de lutter contre elle
Vous souffrez de la peur de vous étouffer en mangeant, cette phobie qu’on appelle phagophobie ?
Vous avez essayé plein de méthodes, mais rien ne vous a vraiment libéré ?
C’est en voyant le nombre de personnes venir me consulter pour cette peur que j’ai eu envie d’écrire cet article. Cet article fait suite à cet autre article sur la peur de s’étouffer.
Je n’ai pas personnellement vécu cette phobie, mais la détresse émotionnelle de ceux qui la traversent m’a profondément touché.
Je sais à quel point la méthode que j’utilise peut être puissante face à cette angoisse.
On parle souvent de trouble alimentaire, mais pour moi, ce n’en est pas un. Le vrai problème vient d’une mémoire traumatique qui s’active.
Quand on vit cette peur, elle peut vite devenir une obsession… voire un vrai danger au quotidien.
Et surtout, sachez une chose : on ne vainc pas la peur de s’étouffer, on accueille ce qu’elle provoque dans le corps. Aussi étrange que cela puisse paraître.
C’est justement ce que je veux vous expliquer dans cet article.
Qu’est-ce que la peur de s’étouffer en mangeant (phagophobie) ?
La phagophobie, c’est cette peur irrationnelle liée à l’acte d’avaler. Pour ceux qui en souffrent, manger devient un moment de tension, où chaque bouchée peut se transformer en menace. Ce n’est pas un simple trouble alimentaire : c’est une véritable phobie spécifique, différente d’un problème médical comme la dysphagie (qui concerne, elle, une difficulté physique à avaler).
Souvent, les personnes concernées développent tout un rituel autour des repas. Elles mâchent indéfiniment, évitent certains aliments, mangent froid — ou carrément seules, dans un environnement qu’elles jugent “sûr”.
Et cet isolement, justement, devient vite un enfer.
La dernière personne que j’ai accompagnée paniquait à l’idée qu’un collègue entre dans son bureau pendant qu’elle mangeait. Rien que d’imaginer une présence la paralysait. Elle préférait donc rentrer chez elle à midi, pour pouvoir manger tranquillement… enfin, “tranquillement” est un grand mot : elle mettait parfois plus d’une heure pour avaler un repas.
Cette peur n’est pas seulement une peur de s’étouffer. C’est aussi la peur d’être vu en train d’avoir peur. Et petit à petit, c’est la vie sociale, les repas partagés, la spontanéité qui disparaissent.
Pourquoi vouloir “vaincre” la peur ne fait qu’aggraver les choses
Il est important que vous compreniez une chose : plus vous essayez de vaincre cette peur, plus elle va s’amplifier. Et ça, c’est vrai pour n’importe quel mal-être qui s’active à l’intérieur de vous.
Prenez un exemple simple : si vous êtes triste et que vous tentez à tout prix de calmer cette tristesse, elle va souvent grandir. Par contre, si vous commencez à l’accueillir, à observer ce que ça fait dans le corps sans chercher à la changer, alors tout commence à s’apaiser naturellement.
Pour la phagophobie, c’est exactement la même chose.
Tant que vous luttez contre cette peur de manger ou d’avaler, votre corps reste en mode survie.
Mais dès que vous apprenez à observer ce qui se passe en vous, la peur commence à se dissoudre.
Attention, quand je parle “d’accueil”, je ne parle pas d’un accueil mental — du genre “je vais me raisonner et penser positif”. Non. Je parle d’un accueil sensoriel, d’une observation réelle des sensations corporelles.
Et comme cette observation peut être délicate au début, mieux vaut être accompagné par un thérapeute formé à cette approche.
Car bien guidé, vous pouvez aller au bon endroit : là où se cache la fameuse mémoire traumatique.
C’est cette mémoire qui déclenche tout.
Quand elle s’active, votre cerveau reptilien croit que vous êtes en danger de mort. Résultat : gorge qui se serre, respiration bloquée, panique…
Pour vous libérer, il faut donc “désactiver” ce vieux programme.
Et ça, ça ne se fait jamais par la tête.
Le mental ne sait pas effacer une peur de ce type.
La clé, c’est la connexion au corps, cette capacité naturelle que nous avons tous à nous réguler — à condition de la laisser faire.
Ce n’est pas de votre faute : l’origine est une mémoire traumatique
Soyons clairs : vous n’êtes à aucun moment responsable de ce que vous vivez. Jamais.
Et surtout, vous dire que “ce n’est pas si grave”, ou que “vous n’êtes pas en danger”, est une erreur.
Pourquoi ? Parce qu’en faisant ça, vous invalidez le signal de danger que votre cerveau reptilien envoie. Or, quand ce cerveau-là s’active, il prend le contrôle. C’est lui le chef. Et si vous essayez de le calmer avec des raisonnements, il va au contraire renforcer le signal pour que vous preniez enfin le “danger” au sérieux. Résultat : plus vous essayez de vous apaiser, plus le mal-être augmente.
Ce que vous ressentez n’a rien de rationnel, et c’est normal.
Quand la partie du cerveau chargée de vous protéger s’allume, le reste — logique, raisonnement, discours intérieur — devient complètement secondaire.
Et cette partie-là, elle ne comprend ni la modération, ni les arguments.
Alors quand cette peur s’active, souvenez-vous que votre cerveau cherche simplement à vous protéger. Aussi absurde que ça puisse sembler.
Quand vous essayez de manger, il réagit comme si vous risquiez votre vie.
Imaginez : c’est comme si vous aviez un fusil pointé sur la tempe et qu’on vous disait calmement “mais si, tout va bien, tu peux te détendre”. Impossible. Votre corps hurle “danger”, et il a ses raisons.
Ce réflexe vient d’une mémoire traumatique — un souvenir ancien, souvent inconscient, d’une situation où votre cerveau a cru que vous alliez mourir (par étouffement, panique, ou autre). Depuis, il garde ce programme d’alerte prêt à se déclencher.
Alors rappelez-vous : vous n’êtes pas fou, pas faible, et encore moins à enfermer.
Votre corps ne fait que réagir à un vieux souvenir… et il est tout à fait possible de le libérer.
L’histoire de Claire : quand la peur de s’étouffer cache une autre blessure
Je vais vous raconter ici l’histoire de Claire que j’ai aidée à aller mieux. Je l’appelle Claire, mais ce n’est pas son vrai prénom.
Claire a pris contact avec moi parce qu’elle vivait une période difficile où manger et boire était devenu un véritable enfer.
Tout avait commencé un jour où elle avait failli s’étouffer en buvant de l’eau, sur la route. Depuis, impossible pour elle de manger ou boire normalement.
Comme elle me l’a dit en séance : « J’ai fait une fausse route. »
Lors de la première séance, on a simplement travaillé sur le mal-être présent, sans chercher à comprendre ni à analyser. Juste ce qui était là, dans l’instant.
À la séance suivante, j’ai compris que Claire se mettait une énorme pression pour aller mieux, et surtout pour réussir à manger avec ses enfants.
Quand elle était seule, tout se passait beaucoup mieux.
Je lui ai donc proposé de ne pas s’imposer les repas en famille pour le moment, et on a surtout travaillé sur cette peur.
Et là, surprise : on est retombé sur une peur du regard des autres. Rien à voir avec la phobie du départ.
Comme souvent, quand une peur ou une phobie se manifeste, l’origine n’est jamais celle qu’on imagine.
Il m’est déjà arrivé de libérer une phobie de l’avion simplement en travaillant sur le décès du frère de la personne.
Comment la méthode NERTI aide à se libérer durablement
Quand la peur de s’étouffer en mangeant arrive, le premier réflexe, c’est souvent de vouloir qu’elle disparaisse.
On cherche à faire partir les symptômes, à reprendre le contrôle, à se calmer.
Mais plus on essaie, plus la gorge se serre, plus la peur s’amplifie.
Avec la méthode NERTI, on fait exactement l’inverse.
On observe les sensations dans le corps au lieu de lutter contre elles.
Parce que c’est justement en observant sans agir, sans chercher à contrôler ni à comprendre, que ces sensations se dissolvent naturellement.
Aussi étrange que cela puisse paraître, c’est quand on laisse faire le corps qu’il se libère.
Avec Claire, par exemple, je lui ai simplement fait boire de l’eau pendant une séance.
Dès qu’elle sentait un inconfort, je lui demandais d’arrêter et d’observer.
Et petit à petit, elle a pu reboire sans gêne, naturellement.
Je ne l’ai pas forcée à affronter la peur — je l’ai aidée à l’accueillir dans le corps, et c’est ce qui l’a libérée.
C’est ce qui fait toute la différence entre NERTI et d’autres approches plus mentales comme la thérapie cognitivo-comportementale (TCC) ou l’hypnose.
Ces méthodes peuvent aider à modifier les pensées ou à calmer l’anxiété, mais elles ne désactivent pas la mémoire traumatique à l’origine du problème.
Elles agissent sur le mental — alors que la peur, elle, se loge dans le corps.
NERTI, au contraire, va directement à la racine du trouble.
En reconnectant la personne à ses sensations physiques, on permet au corps de “digérer” l’événement resté bloqué.
Et une fois cette mémoire dissoute, le cerveau reptilien n’a plus besoin d’activer l’alarme à chaque repas.
Résultat : la déglutition redevient naturelle, fluide, sans tension.
On ne mange plus “en faisant attention”, on recommence simplement à vivre.
L’alternative : une libération définitive avec la méthode NERTI
Plutôt que de “gérer” la peur comme dans un stage, je vous propose une libération émotionnelle complète et durable, pour que votre corps arrête de réagir automatiquement et que l’angoisse disparaisse vraiment. Le prix de cet accompagnement est de 300 €, et il inclut tout ce dont vous avez besoin pour prendre l’avion sereinement.
Mon approche est personnalisée et adaptable : je ne fais jamais le même accompagnement pour deux personnes. Chaque peur, chaque vécu, chaque mémoire est différente, et l’accompagnement doit l’être aussi. Nous travaillons tant que la réactivité est présente : si une séance est nécessaire juste avant votre vol, nous la faisons.
Le processus commence par le nettoyage des mémoires traumatiques et des ancrages dans le cerveau reptilien grâce à NERTI, pour libérer la réactivité profondément. Ensuite, nous faisons du renforcement avec des séances de sophrologie personnalisées, à pratiquer entre les séances, pour ancrer la sérénité et préparer votre réussite. L’objectif est que vous puissiez intégrer durablement le calme et la confiance dans votre corps et votre esprit.
Je reste également disponible pour toute question ou échange tout au long de l’accompagnement, pour que vous ne soyez jamais seul face à votre peur. Dans le dernier accompagnement que j’ai réalisé, nous avons fait une séance juste avant le vol, et ma cliente a pu embarquer totalement sereine.
Le résultat est clair : au lieu de “gérer” votre peur, vous n’avez plus peur du tout. Et en bonus, prendre l’avion devient un vrai plaisir : voyager librement, partir en vacances sans stress, et profiter de chaque moment sans être paralysé par l’angoisse.
Reprendre confiance avec les repas
Si vous voulez vous libérer de la peur de vous étouffer en mangeant, il va falloir y aller en douceur.
Pas de forcing, pas de performance. Juste de la bienveillance et du respect pour votre rythme.
La première étape, c’est souvent de travailler sur la culpabilité : cette petite voix qui vous dit que “vous devriez y arriver”, que “ce n’est pas normal”.
Ensuite, vient la pression que vous vous mettez pour guérir vite, ou pour réussir à manger “comme avant”.
Et enfin, il y a cette peur plus profonde, souvent liée à la peur de manquer, ou même à la peur de mourir de sous-alimentation.
Créez un cadre apaisant pour vos repas. Choisissez un endroit où vous vous sentez bien, seul ou accompagné, selon ce qui vous rassure le plus.
Commencez par des aliments faciles à avaler, prenez votre temps, faites des pauses si nécessaire.
Et surtout : n’essayez pas de changer vos sensations. Observez-les simplement, sans jugement.
Le mot-clé ici, c’est bienveillance.
Parce que si vous n’êtes pas bienveillant avec vous-même, votre corps ne pourra pas se détendre.
En séance, on utilise souvent des exercices de visualisation pour reprogrammer le cerveau à la réussite.
Si vous restez focalisé sur la peur de vous étouffer, votre cerveau va la renforcer.
Mais si vous commencez à imaginer le plaisir de remanger librement, vous installez peu à peu une nouvelle réalité intérieure.
Et souvenez-vous : vous ne choisissez pas de vivre ce que vous vivez.
Ce n’est pas une question de volonté ou de courage. C’est juste votre système de survie qui s’est activé.
Petit à petit, à force de douceur, vous allez retrouver le plaisir de manger.
Certaines personnes y arrivent en une seule séance (oui, oui, ça arrive !).
D’autres ont besoin d’un peu plus de temps, et c’est parfaitement normal.
C’est pour ça que j’ai mis en place un accompagnement avec garantie de résultat :
vous n’êtes pas dépendant du nombre de séances, car je sais que vous allez vous libérer.
Ce que je ne peux pas prévoir, c’est simplement le temps que votre corps mettra pour se détendre.
En résumé : la peur de s’étouffer n’est pas une fatalité
Si vous retenez une chose de tout cet article, c’est bien celle-ci : vous n’êtes pas malade, ni faible, ni condamné à vivre avec cette peur.
La phagophobie, ce n’est pas une fatalité. C’est juste un mécanisme de protection qui s’est déréglé, une mémoire traumatique qui s’active à chaque repas.
Bonne nouvelle : on peut la désactiver durablement.
Et le jour où cela se fait, tout redevient simple. Vous retrouvez le plaisir de manger, la joie des repas en famille, le goût de la vie tout court.
Ce n’est pas une question de volonté, mais de réconciliation avec votre corps.
Et c’est exactement ce que permet la méthode NERTI : une reconnexion à soi, sans effort, sans forcer, mais avec beaucoup de douceur.
Et vous ?
Vous vivez cette peur au quotidien ? Vous évitez certains aliments ou repas en famille par crainte de vous étouffer ?
Et si on en parlait ensemble.
Je vous propose un accompagnement personnalisé, en présentiel ou en visio, pour libérer votre corps de cette mémoire traumatique et retrouver le plaisir de manger sereinement.
👉 Prenez rendez-vous ici et faisons ce premier pas ensemble.
FAQ – Peur de s’étouffer en mangeant (Phagophobie)
1. Qu’est-ce que la phagophobie ?
La phagophobie est la peur irrationnelle de s’étouffer en mangeant ou en avalant. Ce n’est pas un trouble alimentaire, mais une phobie spécifique : le corps réagit comme s’il était en danger, même si le mental sait que tout va bien.
2. Quelle est la cause de cette peur ?
La cause vient d’une mémoire traumatique : un souvenir ancien (souvent inconscient) où votre cerveau a cru que vous alliez mourir, par étouffement ou panique. Depuis, il déclenche ce signal d’alarme dès que vous mangez.
3. Pourquoi essayer de “vaincre” la peur ne marche pas ?
Parce que plus on essaie de la contrôler, plus elle s’amplifie. La solution, c’est d’apprendre à observer ce qui se passe dans le corps sans chercher à calmer ni à comprendre. C’est ce qui permet au corps de se réguler naturellement.
4. En quoi la méthode NERTI est différente ?
La méthode NERTI agit directement sur le corps et la mémoire traumatique, sans passer par le mental. Contrairement aux TCC ou à l’hypnose, elle désactive la source du blocage, pas seulement les pensées qui l’accompagnent.
5. Est-ce que je vais devoir revivre le traumatisme ?
Non. Avec NERTI, on ne revit rien. On observe simplement ce que le corps manifeste ici et maintenant, dans un cadre sûr. Le processus est doux, progressif et guidé pas à pas.
6. Combien de séances faut-il pour s’en libérer ?
Certaines personnes se libèrent en une seule séance, d’autres ont besoin d’un peu plus de temps. Mon accompagnement est garanti sur le résultat : vous ne payez pas pour un nombre fixe de séances, mais pour une vraie libération durable.
7. Puis-je m’en sortir seul ?
Vous pouvez commencer à observer vos sensations sans les juger ni les modifier. Mais pour désactiver la mémoire traumatique, un accompagnement avec un thérapeute formé à NERTI est souvent nécessaire pour aller au bon endroit sans forcer.
8. Vais-je vraiment pouvoir remanger normalement ?
Oui. Une fois la mémoire traumatique désactivée, la déglutition redevient fluide, naturelle et sans tension. Vous retrouvez le plaisir de manger, de partager des repas, et surtout la liberté d’être serein à table.
9. Comment prendre rendez-vous pour un accompagnement ?
Je propose des séances en présentiel ou en visioconférence. Vous pouvez prendre rendez-vous directement ici : 👉 Prendre rendez-vous
Témoignages
« Nicolas m’a été d’une grande aide si précieuse, après la première séance, rien n’est déjà plus comme avant. Tout en douceur mes émotions bloquées se sont comme envolées. Je me sens beaucoup mieux, apaisée, ma vision sur ces situations du passé a complètement changé. Je recommande Nicolas qui est d’une simplicité détonante, une authenticité humaine et touchante. Je me suis sentie à l’aise immédiatement et je trouve cette méthode douce et libératrice. Beaucoup de compétences et d’humilité chez Nicolas. Si j’avais connu ça il y a quelques mois J’y serais allée bien avant! Un homme au grand coeur et qui fait preuve d’une merveilleuse bonté d’âme. Mon mot de la fin Nicolas c’est MERCI MERCI MERCI ! Bravo et continuez car vraiment Le Monde a besoin de vous. J’ai testé en présentiel comme en visio, et je peux vous dire que l’efficacité est identique ! Je me sens libre et Libérée après chaque séance ! »
Yasmine – Hypnothérapeute Montpellier
« J’ai rencontré Nicolas grâce à une amie. J’avais déjà eu recours à des séances de EMDR, et de sophrologie…. À ce jour restait encore ancré en moi des réactions qui me gênaient dans ma vie de tous les jours, et que je n’arrivais pas à maîtriser.
J’avoue avoir hésité avant de consulter Nicolas, je me suis documentée sur la méthode NERTI, j’ai également regardé des vidéos de Nicolas avec Luc Geiger, et cela a été le facteur déclenchant. Je me félicite tous les jours d’avoir franchi le pas pour un mieux être dans la vie, et surtout comprendre ce qui se passait à l’intérieur de moi. Nicolas ne n’égare pas et reste avec le sujet qui nous préoccupe durant toute la séance. Un grand merci Nicolas pour ton implication et ta générosité. »
Viviane Montpellier
« Nerti c’est 2 choses à mon sens.
Déjà une méthode innovante et sans doute d’une efficacité redoutable.
J’ai vécu ma première séance je sentais déjà de belles et nouvelles choses à l’intérieur de moi.
En suite c’est le praticien qui va faire la différence au travers de sa personnalité.
Nicolas est homme empreint de générosité, d’empathie et de sensibilité, c’est le profil le plus adapte pour suivre votre séance Nerti.
La force de Nicolas c’est de lire votre profil , de comprendre votre besoin et de s’adapter.
Très à l’écoute et d’une extraordinaire patience, toujours disponible à n’importe quel moment et avec une empreinte très positive à chacune de ses interventions.
Allez-y …sautez le pas …Nerti et Nicolas c’est le tierce gagnant. »
Fred – Conférencier
« Un thérapeute génial tout simplement. Nicolas est à l’écoute, généreux, bienveillant et professionnel! Rempli de compassion. Depuis les séances ma vie se transforme, des portes s’ouvrent et la vie prend un sens agréablement différent 🙂
La méthode nerti très peu connue qu’il utilise est exceptionnelle, les résultats ne se font pas sans dire.
Merci pour tout. »
Laura – Vendeuse magasin Bio Lunel
« Je recommande fortement d’aller rencontrer Nicolas. Par son écoute, sa bienveillance, son professionnalisme et la méthode Nerti il m’a aidée à surmonter un blocage suite à un choc émotionnel.
Je me sens plus légère et j’apprécie le moment présent.
Alors faites moi confiance et allez voir Nicolas vous ne serez pas déçus »
Virginie – Boutique surgelée Sommières
« Je remercie Nicolas pour son aide dans des moments difficiles et douloureux comme la séparation.
Deux jours après la première séance je me sentais déjà mieux, j’avais retrouvé l’appétit, ma tristesse était moindre. Le deuxième séance m’a redonné confiance en moi et m’a libéré. Je commande fortement le Nerti. Merci encore 🙏 »
Angeline – Infirmière Baillargues
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