Crises d’angoisse, phobies, anxiété : tout est lié ! Et la méthode NERTI peut vous en libérer.

« Ah non, mais moi je n’ai pas d’attaque de panique, c’est plutôt des crises d’angoisse. »
« Moi je n’ai pas de crises d’angoisse, mais je panique en avion. »
« Je ne pense pas être angoissé, je suis surtout anxieux. »
« On m’a diagnostiqué un syndrome d’anxiété généralisée, mais je ne suis pas angoissé. »

Autant de phrases qui, au fond, ne veulent pas dire grand-chose. Car tous ces problèmes sont intimement liés. Une phobie peut se transformer en crise d’angoisse ou en attaque de panique. L’anxiété, elle aussi, peut déboucher sur une crise d’angoisse.

En réalité, toutes ces pathologies ont le même dénominateur commun : une réactivité excessive du cerveau reptilien.

Ce mécanisme va ensuite donner naissance à des manifestations différentes — phobies, crises, anxiété — mais le point de départ reste le même : un cerveau reptilien persuadé que votre vie est en danger, aussi absurde que cela puisse paraître.

Si vous voulez mieux comprendre ce mécanisme, je vous invite à aller lire cet article ou celui-ci.

Dans cet article, je vais vous parler brièvement de chacune de ces problématiques. Vous pourrez ensuite approfondir chaque sujet en consultant les articles dédiés.

Et surtout, gardez une bonne nouvelle en tête : tous ces troubles peuvent être résolus facilement et durablement grâce à la méthode NERTI.

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Les phobies

Quand j’entends « phobie », j’entends souvent la phrase : « j’essaie de prendre sur moi ».
Je vous le dis tout de suite : prendre sur soi ne sert à rien. Avoir une phobie, c’est irrationnel — pas au sens où vous devenez fou, mais au sens où on ne peut pas la raisonner.
Chercher à raisonner une phobie est même contre-productif. Quand le cerveau reptilien s’active, son unique objectif est d’être entendu. Si vous essayez de lui expliquer calmement que « non, il n’y a pas de danger », vous lui envoyez le message implicite que son signal a été ignoré — et ça, il n’aime pas du tout.

L’inconfort que vous ressentez dans le corps pendant une phobie (serrement de la poitrine, bouffées de chaleur, vertiges, blocage musculaire, envie de fuir…) est là pour déclencher une réaction : fuir, combattre ou se figer. Ce sont des réactions corporelles, pas des raisonnements.
Le truc qui manque souvent dans les explications classiques, et que beaucoup de personnes n’entendent pas, c’est ceci : ce n’est pas la pensée qui commande la phobie, ce sont les sensations corporelles. Tant que vous n’écoutez pas et ne décalez pas votre attention vers ce qui se passe dans le corps, la peur reste active — voire s’amplifie.

Plutôt que de vous battre avec vos pensées, il vaut mieux apprendre à observer les sensations et à les laisser passer. C’est exactement ce que propose la méthode NERTI : reconnecter l’attention au corps pour que le cerveau reptilien se sente entendu et puisse arrêter d’alimenter la panique.

Phobies que je retrouve le plus en cabinet

  • Peur de conduire : c’est une peur très répandu qui est très handicapante car c’est un endroit où on passe énormément de temps → article existant

  • Peur de s’étouffer: une peur très contraignante car elle peut empêche de s’alimenter correctement et peut entraîner un amaigrissement. C’est d’ailleurs souvent ce dernier point qui est la clé du déblocage. → articles existants & https://apresquoitucours.fr/peur-de-setouffer/

  • Phobie de vomir : phobie la aussi assez handicapante car les personnes concernées ont tendance à vérifier en permanence les risques de maladie (les épidémies de gastro par exemple)→ article existant

  • Phobie de l’avion: une peur que je retrouve en cabinet. j’ai même créé une offre pour vous en libérer définitivement →

  • Peur du noir → article existant

  • Phobie des oiseaux → article existant

  • Phobie des serpents → article existant

  • Phobie administrative → article existant

  • Glossophobie ou peur de parler en public: une peur très handicapante mais facilement dépassable → article existant

  • Peur du vide : peur qui bizarrement s’enlève assez bien → article existant

  • Peur de la foule: la encore une phobie paralysante mais qui peut facilement être enlevée → article existant

  • Peur de la mort: c’est la racine de toutes les phobies. Toutes les phobies aboutissent à cette peur là → article existant

Comment NERTI peut aider ?

Tout simplement par la reconnexion au corps.
Plutôt que de fuir — la situation et le mal-être —, je vous aide à vous reconnecter à vos sensations corporelles.
Observer ce qu’il se passe dans votre corps, sans chercher à intervenir, permet au mécanisme naturel de libération de se déclencher. C’est ce processus d’observation pure qui dissout le blocage inconscient et met fin à la réaction automatique du cerveau reptilien.

Crises d’angoisse et attaques de panique

Crises d’angoisse, attaques de panique, crises d’anxiété, crises de panique… autant de synonymes qui me laissent perplexe.
Quand j’ai fait mes premières crises d’angoisse, en 2001, tout ce vocabulaire n’existait pas.
Personnellement, je ne savais même pas ce qu’était une crise d’angoisse. C’est mon médecin généraliste qui me l’a expliqué.
Et à l’époque, la seule solution qu’on proposait, c’était les médicaments.

J’ai eu un patient cette semaine qui m’a dit qu’avant de faire sa première crise, il ne savait même pas que ce genre de truc existait.
Et je pense sincèrement que ça devrait être expliqué à l’école.
Parce que quand on vit sa première attaque de panique, on est complètement démuni et perdu.

Il m’a raconté que pendant sa première crise, il a eu l’impression d’être mort, d’être passé dans un autre monde :

« Personne ne m’entendait, et c’était atroce. »

Et je comprends parfaitement ce qu’il a ressenti, car j’ai vécu la même chose. Cette sensation d’être déconnecté de tout, d’avoir quitté la réalité. À ce moment-là, je me suis vraiment demandé si j’étais encore vivant.

Quand je parle de crises d’angoisse autour de moi — ou même quand je vois des publicités qui prétendent expliquer comment s’en libérer —, je me rends compte que très peu de personnes comprennent réellement ce qui se passe.
Il y a comme un brouillard autour de la vraie cause des crises.

Et pourtant, l’explication est la même que pour les phobies :
👉 Une réactivité du cerveau reptilien, ce bon vieux gardien de la survie, qui se croit en danger de mort.

La crise d’angoisse naît du conflit entre deux parties de nous :

  • le cerveau reptilien, qui veut absolument être entendu,

  • et notre volonté consciente de nous calmer.

C’est ce tiraillement entre les deux qui déclenche la panique.

J’ai écrit plusieurs articles pour vous aider à mieux comprendre ce mécanisme et, surtout, à vous en libérer :

J’ai même créé un site entièrement dédié à cette problématique: wwww.apresquoitucours.fr

Comment NERTI peut aider ?

Encore une fois par la reconnexion au corps.
Plutôt que de fuir la crise, je vous aide à vous reconnecter à vos sensations corporelles.
Observer ce qu’il se passe dans votre corps, sans chercher à intervenir, permet au mécanisme naturel de libération de se déclencher.

Anxiété et anxiété généralisée

L’anxiété est la conséquence d’un état de stress permanent.
Cet état de stress est, comme pour les crises d’angoisse et les phobies, lié à un cerveau reptilien qui se croit en danger.
La différence, c’est qu’avec l’anxiété, ce stress est présent en continu, de manière plus diffuse, plus latente.

Quand on vit avec de l’anxiété, on finit plus ou moins par s’y habituer.
C’est un peu comme si quelqu’un vous poursuivait à distance, sans jamais vous rattraper. Vous pouvez continuer à avancer, mais jamais vraiment vous détendre.
Et d’ailleurs, vouloir se détendre peut empirer les choses : cela revient à aller à l’encontre du signal de survie que le corps tente d’envoyer.

En thérapie, on parle souvent d’anxiété généralisée. (Vous pouvez mon article en cliquant sur le lien)

On pourrait la définir comme le fait d’être sur le qui-vive en permanence, sans raison apparente.
Et cet état ne se résout pas par la rationalisation ou la compréhension intellectuelle, mais par la désactivation complète du programme corporel qui s’active à tort.

Comment NERTI peut aider ?

Encore une fois, par la reconnexion au corps.
En allant simplement observer ce qui s’active en vous lorsque vous êtes en état de stress.
Pas besoin de comprendre le « pourquoi » ni de chercher l’origine : le corps sait comment faire pour libérer.
En suivant ce processus, le cerveau reptilien reçoit enfin le message qu’il peut se détendre — et l’anxiété s’éteint d’elle-même.

Tout commence (et se termine) dans le corps

Crises d’angoisse, anxiété, phobies, panique…
Tout cela n’est pas une fatalité. Ce ne sont pas des “maladies” à vie, ni des “troubles” qu’il faut apprendre à gérer.
Ce sont simplement des réactions automatiques du corps, issues d’un cerveau reptilien un peu trop zélé, qui croit devoir vous sauver d’un danger… alors qu’il n’y en a pas.

Le vrai problème, c’est qu’on essaie de raisonner un mécanisme corporel avec des outils mentaux.
On veut comprendre, contrôler, respirer, penser positif… alors que tout ce qu’il faudrait faire, c’est laisser le corps faire son job.

Et c’est là que la méthode NERTI change tout.
Elle permet à votre corps de désactiver naturellement ces programmes de survie inutiles, sans forcer, sans médicaments, et sans techniques compliquées.

Et si vous pouviez vous libérer, vous aussi ?

Que vous souffriez de crises d’angoisse, d’anxiété permanente ou d’une phobie qui vous pourrit la vie, vous pouvez vous en libérer.
Pas dans dix ans, pas après 40 séances, mais en quelques séances seulement, parfois même en une.

C’est exactement ce que je propose dans mes accompagnements avec la méthode NERTI — en présentiel ou en visioconférence.

👉 Si vous sentez que votre corps s’emballe parfois sans raison,
👉 si vous avez déjà tout essayé sans succès,
👉 ou si vous voulez enfin comprendre ce qu’il se passe à l’intérieur de vous pour ne plus subir vos émotions…

Alors je vous invite à réserver une séance.
C’est souvent le premier pas vers une libération que beaucoup de mes clients qualifient de “magique”… même si, en réalité, c’est juste naturel.

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